Créer un site internet

Documents supplémentaires

Commentaire : Les documents publiés ci-après feront l’objet d’analyses et de commentaires prochainement pour expliquer la raison et le sens de leur présentation à la connaissance des lecteurs. La vidéo qui s’y trouve n’est pas un élément anodin : son présentateur Pascal Boniface, professeur et chercheur à Science po (paris), porte les mêmes observations que moi-même sur le journal Le Monde, mais avec plus de 20 de retard sur Le Roi et la Rose et 10 ans après la publication de l’affaire Ben Barka où je dénonce méthodiquement le quotidien du soir.

 

 

Au Maroc, des ONG contestent le travail de l'Instance équité et réconciliation

 

Elles craignent que les auditions sur les violations des droits de l'homme commises sous le règne d'Hassan II n'aient pas de "résultats concrets".

Le Monde
Publié le 08 février 2005

 

Trois ONG marocaines ont publié, lundi 7 février à Rabat, un communiqué commun assez critique à l'égard du travail de l'Instance équité et réconciliation (IER), l'organisme gouvernemental mis en place en janvier 2004 au Maroc pour examiner les violations des droits de l'homme commises sous le règne d'Hassan II.

L'Association marocaine des droits humains (AMDH), l'Organisation marocaine des droits de l'homme (OMDH) et le Forum vérité et justice (FVJ) estiment que "la méthode adoptée par l'IER concernant les disparus" risque de "ne pas aboutir à des résultats concrets (...) et de ne pas dévoiler la vérité". Elles regrettent par ailleurs que les auditions des victimes ne soient plus retransmises par la télévision.

"L'opinion publique marocaine est un peu marginalisée. C'est plutôt l'élite et les associations de défense des droits de l'homme qui se sentent concernées. Or elles sont déjà habituées à ce discours, déclare au Monde Mohamed Boukili, membre de l'AMDH. Il n'y a rien de vraiment nouveau pour le grand public."

C'est le 21 décembre 2004 que les victimes des années les plus noires d'Hassan II - pour la plupart des militants de gauche ou d'anciens membres de groupes armés hostiles à la monarchie au lendemain de l'indépendance - ont commencé à témoigner publiquement des violences dont elles avaient été la cible ou les témoins directs. A Rabat, tout d'abord, puis à Figuid (sud), Errachidia (sud-est) et Kénifra (centre), 41 personnes ont pu, jusque-là, parler ouvertement des tortures, meurtres, séquestrations, disparitions, procès iniques, etc. qui avaient marqué leur vie ou celle de leurs proches. Une limite, toutefois, à cette tentative d'exorcisme collectif : le nom des bourreaux doit être tu. La période examinée par l'IER s'étend de 1956 (indépendance du Maroc) à 1999 (intronisation de Mohammed VI).

C'est là l'une des autres réserves de l'AMDH. "Les violations des droits de l'homme se poursuivent aujourd'hui au Maroc, même si elles sont moindres, souligne Mohamed Boukili. Il n'aurait pas fallu s'arrêter à 1999. Il y a encore des enlèvements, des disparitions, des morts sous la torture, des actes commis à l'encontre de prisonniers de l'après 16 mai -attentats de Casablanca de 2003-."

"LEÇONS POUR L'AVENIR"

Pour Salah El Ouadie, membre de l'IER, les auditions ont "une portée historique" et la population (victimes et spectateurs venus les écouter) adhère totalement à la démarche en cours. "Nous ne constatons pas, au cours de ces séances, de désir de vengeance ou de rancœur, déclare-t-il. Des souffrances s'expriment dignement. La plupart des témoins manifestent un souhait très vif de regarder l'avenir et de pardonner."

A ceux qui regrettent que les auditions ne soient plus retransmises à la télévision - ou moins largement que les premiers jours - Salah El Ouadie répond qu'il ne s'agit pas d'une "réduction de temps d'antenne ou de censure", mais d'un choix délibéré, destiné à éviter un "effet de saturation qui serait contre productif ".

Pour Driss El Yazami, secrétaire général de la Fédération international des droits de l'homme (FIDH) et membre à titre individuel de l'IER, il serait regrettable de s'arrêter aux audiences publiques, "la partie la plus médiatique du programme".

Un débat vient de s'ouvrir avec l'université, souligne-t-il, ce qui donne l'occasion d'approcher une génération souvent ignorante de "l'histoire du temps présent". Trois colloques se sont ainsi tenus : l'un consacré à la littérature de prison, l'autre à la violence d'Etat, le troisième au concept de vérité. Un autre colloque devrait se tenir d'ici à juin sur le thème de la réconciliation.

Etablir un bilan rigoureux des violations commises et procéder à la réhabilitation des victimes - sans se limiter à une réparation financière - font partie des autres objectifs de l'IER. "Il nous reste surtout à élaborer des recommandations pour éviter que de telles violations puissent se reproduire, souligne Driss El Yazami. Comment a-t-on pu en arriver là ? Il est essentiel de le comprendre afin d'en tirer les leçons pour l'avenir."

Ces recommandations devraient être remises au roi aux alentours du 12 avril. Elles porteront sur des réformes juridiques aussi bien que sur la formation de la police.

Le sort des disparus, quant à lui, est plus que jamais à l'ordre du jour de l'IER. "C'est même au cœur de notre mission. C'est pourquoi j'ai du mal à comprendre les critiques exprimées lundi par l'AMDH, l'OMDH et le FVJ. Ces trois associations critiquent notre méthode, mais de quoi parlent-elles ?" déclare un membre de l'IER, sous couvert d'anonymat.

Les auditions publiques de l'IER devraient reprendre vers le 15 février. L'AMDH, de son côté, annonce pour le 12 février le coup d'envoi "d'activités publiques", expression qu'elle préfère à celle d'"auditions parallèles".

Un slogan : "Des témoignages en toute liberté pour la vérité." La question de l'impunité sera abordée lors de ces séances. "Nous sommes choqués de voir que les ex-tortionnaires sont toujours à leur poste, explique Mohamed Boukili. C'est le signe que la mentalité n'a pas changé. C'est ce qui nous inquiète le plus à l'AMDH."

Florence Beaugé

Le Monde

 

 

Dans une mise au point à l'AFP : l'AMDH affirme n'avoir aucun porte-parole à l'étranger

 

25 janvier 2005

lien de l'article


L'Association Marocaine des Droits Humains (AMDH) n'a aucun porte-parole officiel ou officieux à l'étranger, souligne l'Association dans une mise au point adressée à l'Agence France Presse (AFP).

Cette mise au point, dont la MAP a reçu copie, intervient, précise l'AMDH, suite à la publication, le 16 janvier courant, par l'AFP d'une dépêche datée de Paris sous le titre: "Maroc-droits de l'Homme -années de plomb: une association demande des observateurs européens".

Selon cette dépêche, "l'Association Marocaine des Droits Humains a demandé dimanche à l'UE l'envoi d'observateurs au Maroc afin d'assister aux auditions publiques parallèles, qu'elle va organiser sur les années de plomb".

Le Bureau central de l'AMDH relève, dans sa mise au point, que cette information ainsi que d'autres publiées dans la dépêche sont attribuées à "l'un des portes paroles, Mohamed Souhaili, réfugié politique en France". Il tient à préciser à cet égard que "l'association n'a aucun porte-parole officiel ou officieux à l'étranger et que les informations de la dépêche de l'AFP ne se basent sur aucune position responsable de l'AMDH représentée par ses instances légales".

"En conséquence, les informations contenues dans la dépêche de l'AFP ne concernent en rien l'AMDH", conclut la mise au point.

 

 

Droits de l'homme : L'ex présidente de l'AMDH récompensée par l'ONU


Publié Le 06/12/2013 à 14h47
lien de l'article

Khadija Ryadi, ancienne présidente de l'Association marocaine des droits de l'homme (AMDH) recevra le Prix 2013 des Nations Unies pour la cause des droits de l’homme, qui récompense des individus et des organisations pour leur travail remarquable en la matière. Selon le Haut-commissariat aux Droits de l’Homme (HCDH), «ce prix est non seulement l'occasion de reconnaître publiquement les réalisations des lauréats eux-mêmes, mais aussi d'adresser un message clair à tous les défenseurs des droits humains du monde entier que la communauté internationale soutient leurs efforts inlassables pour promouvoir ces droits pour tous».

Ce prix est également décerné à cinq autres lauréats : Biram Dah Abeid, un fils d'esclaves affranchis qui lutte contre cette pratique en Mauritanie, Hiljmnijeta Apuk une militante kosovare des droits des personnes de petite taille, Liisa Kauppinen, finlandaise et présidente émérite de la Fédération mondiale des sourds, la Cour suprême du Mexique et Malala Yousafzai,  une écolière pakistanaise victime d’une tentative d’assassinat  alors qu'elle militait pour la scolarisation des jeunes filles.

La cérémonie de remise aura lieu au siège de l'ONU, à New York, le 10 décembre prochain en marge de la commémoration annuelle de la Journée des droits de l'homme. Cette année, cette célébration coïncidera avec le 20ème anniversaire de la création du Haut-commissariat et l'adoption de la Déclaration et du Programme d'action de Vienne.


...Suite : https://www.yabiladi.com/articles/details/21491/droits-l-homme-l-ex-presidente-l-amdh.html

 

 

Le “Canard Enchaîné” piteusement canardé par le couple Moumni

 

lien de l'article

On est tout à fait d’accord avec le « Canard Enchaîné », lorsqu’il affirme que Zakaria Moumni a la tête dure. Il a tellement la tête dure, qu’il continue de croire lui et sa chargée de presse, Taline, qu’ils arriveront à gruger 5 millions d’euros au Maroc, en virevoltant autour des rédactions parisiennes pour convaincre avec misérabilisme un quarteron de journalistes aveuglés par leur tropisme anti-marocain de médiatiser l’histoire abracadabrante de ce faux champion du monde de light contact, dont le dernier clash vidéo à l’institut des cultures musulmanes à Paris, montre qu’il  contrôle de moins en moins ses nerfs.

Profondément ébranlé par les récentes révélations de la presse sur les dessous du « palmarès en toc de Zakaria Moumni », ce dernier s’empresse désormais de jouer ses dernières cartes de poker menteur, dans l’espoir vain qu’il réussira à contourner la case prison, pour laquelle il a pris une sérieuse option en 2015.

Du coup, c’est la panique chez les Moumni et Taline a très manifestement compris que face à la sombre perspective de son inéluctable séparation de son compagnon, il lui fallait ressortir a nouveau son « plan media », en croyant dur comme fer que c’est la pression d’une certaine presse française qui a contraint le Maroc à gracier Zak, lorsqu’il purgeait sa peine de prison pour l’une de ses multiples filouteries. Sauf qu’en optant pour ce qui semble être une ultime fuite en avant médiatique, le couple Moumni est bel et bien en train de confirmer qu’ils ont monté de toute pièce un piètre scénario, pour faire chanter l’Etat marocain, au regard du profil des quelques légionnaires de la plume, très nostalgiques de la Françafrique, qui acceptent de retranscrire fidèlement les craques de Taline.

Car s’il est indéniable que le « Canard Enchaîné », cette célèbre feuille de chou satirique et dérangeante de la rue saint-honoré qui va bientôt fêter son centenaire, a construit tout son succès autour des enquêtes documentées sur les magouilles politiciennes, traditionnellement en vogue dans les arcanes parisiennes du pouvoir, ce n’est pas pour autant que cet hebdomadaire jouit du même crédit lorsqu’il s’attaque à des sujets de politique étrangère, sachant que cet hebdomadaire ne dispose même pas d’une rubrique internationale. C’est tout juste, s’il se limite « à écrire sur le rapports entre la France et l’étranger, par exemple sur l’Afrique, puisqu’il s’agit d’anciennes colonies », dixit avec une pointe de « focarttisme » désuet, le rédacteur en chef adjoint, Jean François Julliard.

C’est justement ce dernier, qui a « témérairement » signé avec ses initiales un entrefilet plagiant succinctement les boniments de l’affaire « Zakaria Moumni » que l’on trouve sur le site « Wiképedia »…bien qu’il n’ait visiblement jamais mis les pieds au Maroc.

Pourtant Julliard n’est pas un bleu. En 30 ans de carrière au sein de cet hebdomadaire, il est parvenu à se constituer un formidable réseau de sources d’information, en ne cessant de rabâcher dans toutes ses interviews, qu’un journaliste chevronné « se doit de bien maîtriser son sujet pour pouvoir l’expliquer et recouper l’information collectée auprès des informateurs, au risque de mettre en péril la crédibilité du Canard Enchaîné ».

Il est vrai, qu’il est épatant, à ce propos, de constater comment Jean François Julliard a évité de compromettre la fiabilité de son journal, en s’abstenant de cautionner la présence du patron du contre-espionnage marocain pendant l’interrogatoire de Zakaria Moumni, jugeant  salutaire pour lui de nuancer la berlue qu’a eu ce dernier lors de son interrogatoire par la police judiciaire marocaine, en précisant que « l’ex-boxeur a déposé une plainte contre cette personnalité marocaine, QU’IL DIT avoir formellement reconnu lors d’un interrogatoire » (sic).

Cette prudence affichée par Julliard dans le traitement des informations collectées auprès d’informateurs pas toujours nets, provient certainement de l’époque où il s’initiait in situ, à Paris, aux problèmes marocains et franco-marocains sous les lumières apocalyptiques d’un gauchiste marocain interlope, ayant obtenu l’asile politique en France depuis 1983, du nom de Mohamed Souhaili, qui lui fournissait à lui et à son sulfureux père spirituel, Claude Angeli (réputé pour ses scoops émanant de la DGSE), des notes au vitriol concernant les droits de l’homme au Royaume, lesquelles étaient reprises sous la signature de journalistes de la rédaction du “Canard Enchaîné”, qui se contentaient d’y apporter de légères retouches, pour leur donner le ton de l’hebdomadaire satirique, en usant d’une titraille « lourdingue » dans le style « Torturé par la diplomatie, Hassan II libère Serfaty » (Canard Enchainé du 18.09.1991).

Ainsi, il s’avère fort piteusement, que lorsque les journalistes du “Canard Enchaîné”, dont chaque édition  fout la « pétoche » à la classe politique française, veulent s’en prendre au régime marocain, il le font, à l’instar de Jean François Julliard, à travers la visière d’une petite clique d’opposants marocains réfugiés en France, dont l’aigreur contre leur patrie les a relégués depuis belle lurette, dans la poubelle de l’Histoire.

C’est sans doute pour cette raison que ce drôle d’oiseau de Mohamed Souhaili, qui s’est toujours considéré comme un collaborateur et pigiste du « Canard Enchaîné », a commis en décembre 2010 son avocat Yves Petit, pour déposer une requête auprès du Conseil des Prud’hommes de Paris (section Activités Diverses), par laquelle il a réclamé la coquette somme de 56.500 euros de dommages et intérêts pour « rupture abusive de contrat de travail, préjudice moral, travail dissimulé sur le fondement des articles ».

Une démarche qu’engagera à n’en point douter le couple Moumni contre cet hebdomadaire, le jour ou ses journalistes cesseront de se fier à des maîtres chanteurs de tout acabit qui cherchent à nuire au Maroc et que Julliard fera l’effort d’aller pêcher ses informations sur le Royaume Chérifien auprès de sources d’information plus crédibles, que celles qui sont en train de prouver que le «Canard Enchaîné», n’est tout juste qu’une vulgaire officine des services français…une de plus.

 

 

 

Témoignage de Loïc Gouesmat

 

Loïc Gouesmat
à moi
29 mars 2013Détails

Le 29 mars 2013

Loïc gouesmat né le 10 juin 1990 à Sallanches étudiant aux Beaux arts du Mans et auteur de la bande dessinée Post Scriptum.

A propos de Mohamed Souhaili :

 

J'ai rencontré Mohamed Souhaili au Mans au alentours de Septembre 2012.

Mon travail avec lui consistait à faire une bande dessinée basée sur l'enlèvement de Ben Barka pour la sortie de son dernier ouvrage.

Après divers recherches graphiques, j'ai compris que travail serai mal réalisé par moi, et qu'il aurais un mauvais impact sur le livre de Mohamed Souhaili.

Je lui ai donc proposé de m'occuper de son site.

Dans le cadre de l'enregistrement du livre : L'Affaire Ben Barka et ses vérités, Mohamed Souhaili eu des difficultés à faire parvenir son ouvrage à la BNF lui précisant que son ouvrage était d'abord imprimé avec des matériaux de mauvaise qualité et que de l'encre et de la colle avait coulée, ce qui as été réfuté par L'imprimeur Charles Corlet, puis la personne de la BNF avec qui Mohamed souhaili était au téléphone a dit que le livre avait été abîmé durant le transport par la poste.

Le livre eu ensuite une fiche dans le catalogue du site de la BNF

Après avoir effectué le travail demandé sur son site, nous avons envoyé quelques ouvrages à des journalistes sans suite ainsi qu'a Bachir Ben Barka.

Plus tard, nous sommes partis pour le festival du livre de Carhaix dans le but de faire la promotion de l'ouvrage précédemment cité. Le 1er jour Mohamed Souhaili eu le droit à un accueil chaleureux dont celle un auteur qui préparais un livre sur l'histoire politique des services secrets français, et lui à même demandé d'acheter un livre l'Affaire Ben Barka et ses vérités ce qu'il fit avec plaisir.

Le lendemain cet auteur eu une attitude réservée envers Mohamed Souhaili et quelques journalistes.

D'autres exposants on eu la même attitude à notre égard, si bien que Souhaili à jugé bon d'aller s'expliquer lui même avec cette personne devenue hostile sur le fond de son ouvrage. Le journal du web indépendant 7seizth nous à offert une place à son stand ainsi qu'une interview à Mohamed Souhaili sur son livre récemment sortit.


Mohamed Souhaili m'ayant montré un document de l'ATMF stipulant qu'ils désiraient commander une trentaine d'ouvrages L'Affaire Ben Barka et ses vérités, je leurs en ai envoyés 25 dans un colis. ne recevant pas de réponses de leurs part nous décidâmes de les contacter par mail et téléphone, sans réponse pour ma part.

Mohamed Souhaili contacta son avocat Maître Yves Petit afin que l'ATMF payent leurs commande.

Début février Mohamed Souhaili me téléphone à mon domicile, afin de me demander si son dernier ouvrage était présent sur le catalogue du site de la BNF. Je constate qu’il n'y est plus.

Entre le 21 et le 23 février 2013 je vais chercher chez Maître Petit des documents stipulant que des lettres recommandées ont été envoyées à l'ATMF et au Canard enchaîné, Mohamed Souhaili faisant remarquer par téléphone à son avocat qu'il était en déplacement quasi permanent pour la promotion de son livre et qu'il lui était impossible d'aller chercher les documents qu'il lui enverrais à son domicile et que par conséquent il fallait l’appeler pour le prévenir de tout avancement.

Peut de temps après je rejoint Mohamed Souhaili à Auray. Pour pouvoir travailler et subvenir à ses besoins il décide de retirer de l'argent sur son compte en faisant une mise à disposition (ou on lui demanda son numéro de compte ainsi que le code guichet de la banque ou il voulais retirer), son retrais fût refusé. Il décida d'attendre le lendemain à l'Orient où on lui précisa que son argent était arrivé à Auray. Nous sommes donc retournés à Auray ou on lui indiqua que l'argent demandé n'y était pas.

Nous sommes alors retournés au Mans pour continuer notre travail. Afin de pouvoir travailler il réitérera la mise à disposition qui pris 3 jours avec l'aide et intervention d'Emmanuel Brasseur de la FSU.

Ne voyant pas de nouvelles de son avocat monsieur Souhaili appela le conseil des prud'hommes et appris qu'aucune plainte n'avait été déposée.

Le 25 mars 2013 lors du salon du livre de paris Mohamed Souhaili me fait remarquer que le livre l'Affaire Ben Barka et ses vérités est présent sur le site de la BNF. Je constate les faits.

 

Le 27 mars 2013 à 9h00 du matin je part chez Maître Hyves Petit pour aller chercher des documents sur une date de conciliation avec le Canard enchaîné.

Maître Petit me demande de revenir à 9h45 chercher ce document car il n'a pas le temps de me les donner.

A 9h45 la secrétaire de Maître Petit me donne le dit document que je vais porter à Mohamed Souhaili, nous remarquons que le document ne concerne pas une conciliation mais un jugement pour le 17 avril 2013.

Mohamed Souhaili appelle donc son avocat afin qu'il donner la lettre jointe avec le document étant donné que ce document avait été envoyé par courrier à son adresse puis retourné, lui demander pourquoi est un jugement et non une conciliation comme écrit sur la lettre recommandée, quelle stratégie adopter pour le jugement car était près à donner le dossier de preuves nécessaire à ce jugement et la prescription pour dommage et intérêt était elle réellement de 30 ans actuellement.

Maître Petit avança qu'il fallait mieux repousser le jugement afin qu’il puisse étudier les preuves de Mohamed Souhaili et que dans l'autre cas il ne serais pas près pour le jugement.

Dans la soirée Mohamed Souhaili reçois et me fait écouter un message sur la messagerie de son téléphone portable de son devenu ex-avocat Maître Petit lui indiquant qu'il ne voulais plus travailler avec lui car le trouvant dangereux, qu'il irais consulter le syndicat des avocats et qu'il avait une lettre expliquant ceci à son bureau que je pourrais aller chercher car ne voulant pas recevoir Mohamed Souhaili

Le lendemain monsieur Souhaili appela le conseil des prud'homme et constata que sa demande avait été enregistrée le 14 mars alors que le courrier en lettre recommandée datai du 19 février.

 

 

Correspondance avec Cindy Mahout

 

De : Cindy Mahout
Date : mardi 6 octobre 2020
Objet : Normandie Livre & Lecture
À : Mohamed Souhaili


Monsieur Souhaili,

Faisant suite à mon message téléphonique de ce jour.

Après différents échanges avec la DRAC et la Région, il semble difficile de valider une demande de bourse car vous dérogez à plusieurs critères du FADEL :

1/ votre dernier livre écrit à compte d'auteur (même si nous avons bien mis en avant le contexte de l'écriture de ce livre)
2/ votre précédent livre à compte d'éditeur qui date d'il y a plus de 10 ans
3/ 2 propositions de projet d'écriture en cours qui ne rentrent pas dans les critères FADEL : l'autobiographie et l'essai n'étant pas des genres éligibles

Toutes ces raisons font qu'il n'est malheureusement pas possible de donner une suite favorable à votre demande de bourse.

Si cette piste de bourse n'aboutit malheureusement pas, notre avocat poursuit son travail auprès de l'Harmattan pour récupérer votre contrat et vos droits d'auteurs. Il vous tiendra informé.  

De plus, je vous informe de l'intention de Dominique Panchèvre d'écrire un courrier à M. Emmanuel Macron.

Vous trouverez ci-joint le courrier. Nous attendons votre aval pour l'envoyer.

Dans l'attente de vous lire,

Bien à vous,

 

 

 

Etapes et faits marquants d’une (nouvelle) descente aux enfers

par Mohamed SOUHAILI

Souffrant d’une très mauvaise bronchite depuis novembre 2014, et contre l’avis de mon médecin traitant en Bretagne, je me suis rendu  début mars à Paris suite à une convocation de la Cour d’Appel de la Chambre sociale dans le cadre d’une procédure engagée par mes soins contre un ancien employeur en l’occurrence l’hebdomadaire Le canard enchaîné.  En fait j’ai jugé opportun et nécessaire ce déplacement  par souci d’éviter, par une demande de renvoi, une radiation éventuelle.

Pour des raisons pratiques , immédiatement après la dite audience je me suis arrêté dans les environs du Mans plus précisément à Sablé où à quelques kilomètres de là se situe l’Abbaye de Solesmes, lieu évidemment paisible,  d’accueil hospitalier et de recueillement.

Pour des raisons pratiques, ai-je dis, car j’étais en attente du nouveau salon du livre de Paris prévu une dizaine de jours plus tard. A ce sujet je dois signaler au lecteur de ces lignes que, écrivain et journaliste, j’ai publié en 2012 un ouvrage consacré à l’affaire Ben Barka.

Néanmoins, en arrivant à Sablé sur Sarthe les chambres généralement réservées aux passagers étant momentanément occupées, c’est auprès du dispositif d’hébergement de la Croix rouge locale que j’ai pu trouvé une solution de trois nuitées.

Mais mon état de santé ne cessait de s’aggraver. J’ai demandé à être entendu par le service médico-social de la Croix rouge sans succès car les deux assistantes sociales habilitées n’étaient pas disponibles et ne voulaient pas l’être. J’ai donc été orienté sur le service social de la Mairie mais je n’ai pas pu rencontrer d’assistantes sociales pour les mêmes raisons. Au terme de trois nuits d’hébergement à la Croix rouge (c’est le maximum prévu par le règlement interne) je me suis rendu à l’Abbaye de Solesmes covoituré par un prêtre qui s’est rendu compte du coup, et de mes difficultés respiratoires et de mon incapacité à marcher normalement. Nous étions le jeudi 12 mars. Par chance je suis accueilli par le moine chargé de l’hôtellerie lequel me place confortablement et me sert le repas du soir. Mais  cette toux qui ne me quitte pas et qui me paralyse va s’avérer fatale lorsqu’au milieu du repas portant un verre d’eau à ma bouche je tousse avec une telle violence que je tombe de ma chaise avec pour conséquence (je le saurai le lendemain) la fracture d’une côte.

 N’ayant pas dormi de la nuit j’appelle de mon portable les Urgences. Un médecin au bout du fil constate à m’entendre parler mes graves difficultés respiratoires. Vingt minutes plus tard les pompiers sont là et je suis conduis au centre hospitalier le plus proche, à savoir le Pôle Santé Sarthe et Loir situé à une dizaine de kilomètres de là.

Après les premiers soins intensifs aux urgences le scanner fait constater à l’interne de service une côte cassée et une sérieuse insuffisance cardiaque. Me voilà transféré au service cardiologique deux étages plus haut.

Une jeune femme en blouse blanche pénètre dans ma chambre, sans annoncer son titre ni sa spécialité se bornant à me poser quelques questions tout en me scrutant. Je m’enquiers de savoir si j’ai bien affaire à la cardiologue de service elle me répond qu’elle est généraliste et devant mon étonnement innocent de ne pas avoir la visite d’un spécialiste, elle m’explique qu’elle est la responsable (administrative) de tout le service. Je saisis l’occasion de lui demander un médicament susceptible d’atténuer ma douleur ( la côte cassée et latoux sauvage et interminable). Elle me répond positivement, mais les infirmières occupées ailleurs à l’étage font semblant d’oublier à chaque fois que j’ai l’occasion de les relancer. Durant le week-end, le samedi, je reçois la visite d’un cardiologue d’origine sub-saharienne, le Dr Ba. Je souligne exprès les origines uniquement pour l’intelligibilité de la gestion dramatique future de mon cas sur le plan médical.

Le dimanche après-midi j’ai pu enfin descendre de mon lit et faire quelques pas dans le couloir. La veille, samedi j’ai pu prendre une douche de façon rapide et autonome.

Ce dimanche, le Dr Ba est de retour et m’annonce une échographie du cœur pour la fin de la journée. Le diagnostic est effarant : mon cœur fonctionne à 15 pour cent nous fait constater cet examen. Pour le Dr Ba, plus d’effort physique ! Il insiste pour me retransporter dans ma chambre, à quelques mètres de là sur un fauteuil roulant. je trouve cela exagéré mais plus tard en analysant bien les choses je déduis que le Dr Ba est animé par le souci d’illustrer  une image contraire à toutes ces infirmières et aide-soignantes de l’étage qui n’arrêtaient pas de crier qu’elles m’avaient vu circuler, déambuler à l’étage et même dans le hall de l’hôpital, histoire d’accréditer que mon état de santé s’étant amélioré, à leurs yeux, il ne nécessitait pas une plus longue hospitalisation.

Mais ce n’est pas la première manipulation émanant du personnel hospitalier téléguidé par la patronne du service, la généraliste, qui cherche à se débarrasser de moi au plus vite.

Je l’apprends plus concrètement lorsque une aide soignante de service la nuit est venue au moins à deux reprises dans ma chambre en pleine nuit pour s’enquérir de mon état. Réveillé par la lumière, elle en profite pour me mettre en garde contre la responsable généraliste. Pour elle il s’agit d’ une administrative pure, sans compétence sur les questions cardiologiques et par conséquent ce n’est pas à elle de décider de ma date de départ. Je dois souligner ici que cette aide soignante a été alertée par un mouvement cardiaque signalé électroniquement par l’appareil que je portais sur moi jour et nuit alors que je dormais. (Rapport du Cardiologue Dr Ba). Le jour suivant ce dernier est affecté à un autre service et je n’ai pu le revoir. La généraliste, accompagnée par un autre cardiologue, m’informe que ma sortie est prévue le jeudi matin. Ce même lundi, je demande à voir l’assistance sociale de l’hôpital. Elle passe me voir en coup de vent (à peine 5 minutes). Elle me dit : Vous savez-combien coûte un jour d’hospitalisation ? Je lui réponds de facto que je suis bénéficiaire de la CMU et qu’il suffit que nous appelions tous les deux la Bretagne pour avoir la confirmation. Je lui ai également parlé d’une maison de repos où je pourrais prolonger ma convalescence. Elle me promet de revenir mais je ne l’ai plus revu. La généraliste me dira plus tard juste avant mon départ que l’assistante sociale ne pouvait rien faire pour moi, sans davantage de précisions. Je lui ai fait remarquer que titulaire du statut de réfugié politique, je suis placé sous la protection de l’OFPRA dans le cadre de la convention de Genève de 1951 signée par la France et garantissant la protection des réfugiés politiques y compris et surtout en matière de soins médicaux. Réponse de la généraliste : moi je ne suis ni avocat ni assistante sociale, je suis médecin.  

Malgré un problème gastrique, je suis contraint de quitter l’hôpital qui plus est avec une activité cardiaque réduite à 15 pour cent.

Le jeudi matin c’est le prêtre de Sablé sur Sarthe avec lequel je suis resté en contact téléphonique qui est venu me chercher sur le parking de l’hôpital avant de prendre la direction du Maine et Loire. En effet, je savais  que l’ONG Médecins du Monde tient une permanence le vendredi matin. Mon but est d’obtenir un contre diagnostic car j’ai perdu confiance… Je voudrais également leur demander de me trouver une maison de repos.

Ce jeudi à 10 h du matin, la secrétaire de la Mairie du Lion d’Angers m’accueille en compagnie du prêtre bienfaiteur. Ce dernier prend congé de moi après m’avoir laissé un peu d’argent suite à l’accord de la Mairie de m’héberger jusqu’au lendemain matin. Un service de bus pour Angers est heureusement assuré et j’ai pu me rendre à Médecins du Monde en taxi une fois arrivé à la gare. Parti de l’hôpital avec un dossier médical et une ordonnance mais sans médicaments, le peu d’argent alloué généreusement par le prêtre a servi à payer la pharmacie du Lion d’Angers et le taxi de la gare d’Angers à Médecins du Monde.

Les médecins en permanence sont effrayés à la lecture du rapport de diagnostic cardiologique établi par le Dr BA. Muni de deux lettres de recommandations de leur part les permanents de Médecins du Monde m’enjoignent de filer sans tarder aux Urgences du CHU d’Angers.

Il me reste quelques euros pour un sandwich et l’achat d’un ticket de bus. 

D’autres étranges attitudes au CHU d’Angers      

Entre 13 h et 14 h je suis examiné par une interne des urgences. Elle vient de prendre connaissance de mon dossier médical ainsi que de deux lettres de Médecins du Monde.

En une demi-journée, j’ai été scruté à deux reprises : la première à Médecins du Monde dans la matinée et la seconde au CHU d’Angers.

L’interne qui me demande de patienter en salle d’attente me fait savoir qu’elle s’apprête à me faire rencontrer une assistance sociale dans l’après-midi. Effectivement aux alentours de 16 h une dame nommée Madeleine me rencontre pour faire le point avec moi au sujet de mon hébergement et le reste. L’entrevue est brève car le service 115 chargé de loger les sans-abris nous signifie au téléphone qu’une possibilité d’hébergement pour 3 à 4 jours est possible à Segré (quelque cinquante kilomètres d’Angers). Les cars assurant la liaison partaient à 17 h et à 18 h. Il fallait que je parte vite. Je reçois la somme exacte de 5,90 euros pour payer le transport. Comme je n’ai pas pu prendre depuis deux jours un diurétique prescrit, Madame Madeleine me remet une ordonnance spéciale  pour ce médicament et prend congé de moi après m’avoir dirigé vers la pharmacie de l’hôpital. Sur place cet établissement est fermé depuis quelques minutes. A l’intérieur par une lucarne vitrée on me fait signe que l’horaire syndical doit être respecté. N’ayant pas le choix et de peur de me retrouver à la rue en manquant le car de 18 h, je n’ai qu’à prendre le chemin de la gare en dépit de tous ces problèmes gastriques indélicats. Le voyage dure une heure, il est plus de 19 h quand j’arrive à Segré. Personne ne m’attend à la gare. Obligé de marcher 2 kilomètres. Chemin faisant, je fais une halte au café ouvert pour me soulager.

Nourri aux raviolis en boîte pendant 5 jours (alors qu’on m’a prescrit un régime sans sel), j’en touche un mot au téléphone à Madame Madeleine qui s’étonne avec indignation de toutes mes observations à son sens inopportunes. Je lui signale également que les services auxquels elle appartient ont omis de me rendre mon dossier médical et l’ordonnance établis par l’autre hôpital. Elle réplique que pour les Sans domicile fixe il est préférable de garder ce type de documents en lieu sûr.  C’est encore elle, Madame Madeleine qui me suggère d’aller au CCAS d’Angers pour demander une domiciliation indispensable à l’ouverture ou à la réouverture de mes droits.

Sceptique, je tente ma chance à Segré sur place en sollicitant le service social de la ville de Segré de bien vouloir me domicilier comme il l’aurait fait dans le passé dans des situations similaires. Aucune suite favorable n’est donnée à cette requête. Le mercredi, je quitte Segré et me revoilà à Angers dès le début de la matinée au CCAS. Là encore je suis orienté vers une autre structure située à l’autre bout d’Angers, je demande à ce qu’on appelle cette association pour qu’on me reçoive dans la journée. Je fais valoir évidemment mon état de santé pour justifier ma demande. Mais la responsable reste de marbre comme si j’étais attendu de pied ferme. N’ayant plus de crédit sur mon portable je demande le téléphone mais je me heurte au refus catégorique de cette personne qui me menace même d’appeler la police si je m’entête à rester dans l’établissement. C’est à ce moment là que j’ai commencé à comprendre que tous ces services sont coordonnés au sujet de mon cas.

Et ce ne serait pas pour la première fois, comme nous le verrons ici plus loin, ou faute de temps le moment opportun.

Poursuivons mon parcours du combattant. Par chance la ligue locale des Droits de l’Homme tient sa permanence ce jour même à partir de 17 h. Un peu tard , vu mon état de santé, mais il faut y aller. Une amie depuis Paris m’envoie par mandat-cash urgent de quoi payer mon hôtel ce mercredi soir. A la L.D.H. , je relate l’affaire, le calvaire, les préjudices et les dessous politiques pour éclairer toutes ses attitudes bizarres, illogiques et ouvertement hostiles.

Les trois membres de la LDH présents me donnent un rendez-vous téléphonique dès le lendemain matin. M. Marc Menard qui téléphone d’abord au CCAS est dirigé aussi vers l’association de l’abri de la providence. On lui a aussi murmuré que renseignement pris au téléphone il n’y aurait nulle trace de mon passage aux urgences du CHU d’Angers. Autrement dit, je suis un possible imposteur !

M. Menard téléphone à l’abri de la providence et obtient un RDV pour moi, mais pas avant le vendredi suivant, ce qui nous envoie au mois d’avril et donc je perds mes droits une fois de plus pour le mois de mars.

Le vendredi suivant, je suis domicilié mais l’assistante sociale que je rencontre en compagnie d’un autre membre de la LDH, à savoir M. Daniel Renou n’a aucune possibilité d’aide financière à arracher en ma faveur. Tout ce qu’elle me propose c’est un hébergement collectif dans un centre d’hébergement peu adapté à mon état et ma situation. Je reste à naviguer d’une commune à l’autre en Val de Loire à une trentaine de kilomètres d’Angers.

L’assistante sociale de l’abri de la providence part en congé pour deux semaines. Elle n’a pas pu récupérer mon dossier médical resté au CHU d’Angers. L’ordonnance fait partie du dossier. A court de médicaments, les pharmacies refusent de me dépanner. A celle de la gare d’Angers, je sollicite un médicament important. Je présente une pièce d’identité et propose à la pharmacienne de service d’appeler les urgences du CHU d’Angers pour confirmation du bien fondé de ma demande.

J’ai un train dans 25 minutes pour St Mathurin. La Mairie m’héberge et il faut y passer avant 17 heures pour récupérer la clé. Or le dernier train est dans cette plage horaire, il part d’Angers aux alentours de 13 heures ;
La pharmacienne n’obtient aucun feu vert du CHU. Malgré ma disposition à régler en espèces mes médicaments moi-même, je repars bredouille en courant vers le train à quai à mes risques et périls. Cela s’apparente à une sorte de fascisme medico-social.

Deux jours plus tard, je suis dépanné par la pharmacie de la Ménitré au moyen d’une ancienne ordonnance établie en Bretagne. Je reçois de l’aide par des personnes honorables indignées par les comportements de leur administration, redoublant toujours d’acharnement à mon égard. Je rappelle ici que mon RSA a été suspendu par la CAF du Morbihan il y a un an et demi,  celle des Côtes d’Armor avait procédé de la même façon quelques mois au paravent. Au total, depuis 2012 l’Etat a fait près de 25 000 euros d’économies avec moi seul.

A l’heure où ces lignes sont écrites je n’ai toujours aucune nouvelle de mon dossier médical mystérieusement retenu au CHU d’Angers.

Voici le contenu d’un SMS que j’ai envoyé à un membre de la Ligue des Droits de l’Homme : «- Refus de soins adaptés et conséquents de deux hôpitaux – aucune aide subsidiaire médicale ou autre…-pratique(singulière) d’une forme de torture consistant à contraindre un cardiaque à faire le tour des administrations sans garantie de résultat ».

Les documents et témoignages annexes tendent à mettre en évidence un problème politique lié essentiellement à la liberté d’expression.

Angers, le 26 avril 2015

 

 

Courrier à Mr Emmanuel Macron

 

Lire le courrierLire le courrier

 

 

Pascal Boniface Blacklisté

Blacklisté par France Inter, France Culture & Le Monde

 

 

 

Extrait de Le Roi et la Rose page 78, 80 morts selon le CALPOM

 

80 morts selon calpom

×